Artaban était en train de se balader dans le village quand il se rappela qui lui reste trois lieux à visiter. En tant que chef du village il se devait d’aller à la rencontre de ses habitants et de ses marchands qui, tout au long de la journée, faisaient vivre le village. C’est alors qu’il passa devant la galerie marchande d’Exporium. Pour se présenter aux gérants de ce magasin il se dirigea vers celle-ci.
Le magasin devant lequel Artaban s’arrêta, la galerie marchande, était un petit magasin tout simple construit dans du bois de chêne pouvant résister aux tremblements de terre les plus compliquées. À l’intérieur, on pouvait apercevoir plusieurs petits bouts de bois, des baguettes, destiné au lancement de sort très compliquée. Dans un coin du magasin, des parchemins été alignés par ordre de destruction. Sous ceux-ci se trouver un chiffre qui faisait office de prix d’achat. Au milieu du magasin se tenait plusieurs étagères où on pouvait trouver tout et n’importe quoi en relation avec le bois. À côté de la porte d’entrée, se donner un petit homme barbu qui attendait derrière un comptoir en sapin. Quant il vit Artaban il se redresse a comme pour souhaiter la bienvenue à cet éventuel acheteur. Il lui dit :
« -Bienvenue aux ‘’Ressources d’Exporium’’, que puis –je faire pour vous monsieur ?
-Vous n’êtes pas le seul qui me prend pour un habitant normal. Bonjour, je m’appelle Artaban Orner, je suis le chef du village. Je suis venu ici pour voir si tout se passait bien pour vous. Mais ne vous inquiétez pas ou ne me connaissait pas il est normal que vous voyez pris pour un acheteur potentiel. Si vous aviez besoin, éventuellement, que l’on réponde à une de vos questions dont vous n’avez pas la réponse, je me ferai une joie d’y répondre si tant est que j’ai la réponse bien sûr. Je vous demanderai juste de m’envoyer une missive afin que je puisse vous y répondre.
-Bien je me rappellerai. Mais la tout de suite j’ai juste une petite question à vous poser, pourriez-vous établir des règles pour le magasin ?
-Mais bien sûr, je vous enverrais cela par un missive comme ça ne pourrait la mettre où ce que vous voulez. »
A ces mots, Artaban repartit…